Au cours de mes recherches sur la meilleure façon de réduire les problèmes chroniques que rencontraient mes patients, j’ai découvert de nombreuses interconnexions entre le déséquilibre, les douleurs permanentes et l’inconfort de mes patients dans leur vie au quotidien.

La méthode « ISOPOSTURALE » englobe plusieurs techniques qui m’ont permis de développer des protocoles d’analyse des déséquilibres et une approche globale des disfonctionnements du corps humain. Chaque déséquilibre engendre des traumatismes dans l’ensemble du corps et des compensations qu’il faut analyser et rééquilibrer.

"L'important n'est pas ce que le patient a mais ce que le patient montre"

La majeure partie du temps le patient consulte quand il estime que la douleur n'est plus supportable. Il soulagera la douleur et non la cause. Chaque organe de notre corps a des connexions qui correspondent à un déséquilibre local qui s’étendra au fil du temps à des problèmes d’ordre général. Comme une habitude les disfonctionnements de l’organisme deviendront chroniques. 

La méthode a pour but d’identifier et remettre en place tous les déséquilibres du corps humain par un diagnostic précis et une méthode qui prendra en compte les antécédents du patient (de son enfance à aujourd'hui).

La synthèse permettra de déterminer la cause qui a déclenché les problèmes majeurs.

 « Le cœur du mal peut être loin de son effet » 

DES RELATIONS = DES EFFETS

Chaque disfonctionnement implique une cascade de déséquilibres et de compensations qui engendre des troubles respiratoires, des blocages vertébraux, des troubles digestifs, des contractures musculaires de compensation.

Des troubles qui durent :

A chaque élément de  notre organisme en disfonctionnement, nous allons nous protéger et compenser. Notre cerveau va à son tour utiliser une empreinte qui ne correspond pas à son empreinte naturelle mais a un « équilibre de survis ».

Plus le trouble est installé et plus l’organisme va pomper dans ses réserves pour à la fin mettre le patient dans un état de fatigue constant l’obligeant à consulter un médecin.